Des titres que j'aime aux États-Unis


Édition du 02 Avril 2016

Des titres que j'aime aux États-Unis


Édition du 02 Avril 2016

Par François Normand

[Photo : Shutterstock]

Les États-Unis constituent un rare îlot de croissance économique dans le monde. La Chine ralentit, l'Europe stagne, et le Canada pâtit de la baisse du prix des ressources. Dans quelles entreprises faut-il investir sur le marché américain pour en profiter ?

Afin de répondre à cette question, nous avons joint cinq gestionnaires de portefeuille chevronnés qui investissent aux États-Unis pour leur demander de nous révéler leurs trois titres préférés.

Pour chaque titre, ils nous ont expliqué pourquoi ils l'aimaient et se sont prononcés sur son potentiel de croissance et les risques particuliers qui lui sont associés. Ils ont de plus précisé leur cible de prix pour décembre 2016, le cas échéant.

La conjoncture monétaire est plus intéressante depuis quelques semaines pour les investisseurs canadiens. L'appréciation du huard vis-à-vis du dollar américain - il a gagné près de 7 % depuis le début de l'année - diminue le coût d'achat d'actions chez nos voisins. Par contre, si le dollar canadien poursuivait sur sa lancée, cela pourrait diminuer les gains enregistrés par les titres libellés en billets verts.

PIERRE TROTTIER

Gestionnaire du fonds de dividende croissance d'IA Clarington (Industrielle Alliance)

1. Lowe's (NY, LOW, 74,78 $ US )

Le quincaillier américain exploite un réseau de 1 840 établissements aux États-Unis. Il a récemment offert d'acheter la québécoise Rona.

Pourquoi l'aime-t-il ?

Lowe's profite de la reprise de la construction résidentielle aux États-Unis. Depuis les années 1960, il s'y construit en moyenne 1,5 million de maisons par année. Actuellement toutefois, le rythme est plutôt de 1,1 M. «Il y a une reprise du côté des nouvelles constructions, et le potentiel durera encore plusieurs années.»

Son potentiel de croissance ?

À long terme, le titre de Lowe's tendra à grimper, en raison de la croissance de la population américaine qui devrait augmenter de 27 % d'ici 35 ans, selon la Banque mondiale. Ce qui signifie l'ajout de 86 M d'habitants (par rapport à une population actuelle de 319 M de personnes). Cette croissance équivaut à plus de deux fois la population du Canada.

La cible en décembre 2016 ?

85 $ US.

Le risque ?

Un ralentissement économique, voire une récession, diminuerait la construction résidentielle aux États-Unis.

Recommandations des analystes

› Achat : 11

› Surperformance : 10

› Conserver : 7

Cible moyenne : 83,70 $ US

2. Kraft Heinz (Nasdaq, KHC, 76,81 $ US)

Le fabricant de nourriture et de boissons est issu de la fusion, en 2015, de H.J. Heinz et de Kraft Foods.

Pourquoi l'aime-t-il ?

«La nouvelle direction a mis en place un programme de réduction des coûts qui se traduira par une hausse de la marge bénéficiaire.» L'entreprise estime pouvoir économiser 1,5 milliard de dollars américains par rapport à des revenus totaux de 27 G$ US.

Son potentiel de croissance ?

Kraft Heinz est appelée à croître. En 2012, le célèbre investisseur Warren Buffett avait acheté Heinz. L'an dernier, il a mis la main sur Kraft pour la fusionner à Heinz. Cette stratégie d'acquisition se poursuivra. «Je cherche des entreprises qui ont le potentiel d'augmenter leurs dividendes d'année en année, et c'est le cas de Kraft Heinz.»

La cible en décembre 2016 ?

90 $ US.

Le risque ?

Le principal risque est que la nouvelle société réduise de manière trop importante ses coûts, ce qui pourrait nuire à la mise en marché de certains produits.

Recommandations des analystes

› Achat : 5

› Surperformance : 7

› Conserver : 3

› Sous-Performance : 1

› Vendre : 1

Cible moyenne : 83,90 $ US

3. Mondelez International (Nasdaq, MDLZ, 39,94 $ US)

Les produits du fabricant de collations (nourriture et boissons) sont distribués dans 165 pays.

Pourquoi l'aime-t-il ?

L'entreprise veut réduire ses coûts de 3 G$ US par rapport à des revenus de 30 G$ US. «Cela est substantiel», dit M. Trottier. Un exercice qui améliorera la rentabilité de la société.

Son potentiel de croissance ?

Des actionnaires activistes ont des participations dans Mondelez International. La direction doit donc prendre des mesures pour «couper dans le gras de l'entreprise», ce qui améliorera la rentabilité. La société est aussi très présente dans les marchés émergents, où la consommation de collations est en forte croissance.

La cible en décembre 2016 ?

50 $ US.

Le risque ?

Près de 80 % des ventes de Mondelez International sont réalisées à l'extérieur de l'Amérique du Nord. L'entreprise est donc très exposée à la force du dollar américain. «Cette situation a nui à ses résultats.»

Recommandations des analystes

› Achat : 6

› Surperformance : 10

› Conserver : 8

› Sous-Performance : 1

Cible moyenne : 44,60 $ US

JEAN MASSON

Directeur général, Gestion de Placements TD

1. Waste Connections (New York, WCN, 64,52 $ US)

L'entreprise se spécialise dans la collecte, le tri et l'enfouissement des déchets domestiques, ainsi que des déchets spéciaux (pour la production de pétrole de schiste).

Pourquoi l'aime-t-il ?

Waste Connections a des sources de revenu diversifiées, car elle est présente dans une trentaine d'États aux États-Unis. Elle signe des contrats à long terme (parfois 10 ans), dans une industrie qui est peu sensible aux cycles économiques. «C'est presque un service public», dit Jean Masson.

Son potentiel de croissance ?

Il n'est pas extraordinaire, mais le titre est une valeur sûre. «Les entreprises non cycliques comme Waste Connections ont plus de chances de livrer la marchandise que des sociétés plus risquées, telles que les minières et les pétrolières.»

La cible en décembre 2016 ?

68,50 $ US.

Le risque ?

Si la société réduisait de manière importante le nombre de villes avec lesquelles elle signe des contrats (pour se concentrer sur de grandes agglomérations comme Los Angeles), et si tous ses contrats venaient à échéance en même temps.

Recommandations des analystes

› Achat : 4

› Surperformance : 6

› Conserver : 1

Cible moyenne : 65,20 $ US

2. McCormick & Company (New York, MKC, 95,84 $ US)

Ce fabricant d'épices, de mélanges d'épices, de condiments et d'autres produits alimentaires vend ses produits partout dans le monde.

Pourquoi l'aime-t-il ?

McCormick & Company produit des aliments que la plupart des consommateurs achètent à l'épicerie. De plus, ses concurrents commercialisent des produits génériques, tandis qu'elle vend ses propres marques.

Son potentiel de croissance ?

La demande en épices connaît une croissance sur la planète. Les gens cuisinent des plats plus raffinés et exotiques, sans parler du fait que les épices sont bonnes pour la santé. «Ce sont en plus des substituts du sel», dit M. Masson. Personne ne fait campagne contre les épices, comme c'est le cas pour la malbouffe.

La cible en décembre 2016 ?

99,75 $ US.

Le risque ?

Comme l'achat d'épices est lié à celui de nourriture, le titre de McCormick & Company pourrait être touché par une éventuelle diminution des dépenses d'épicerie des consommateurs aux États-Unis et ailleurs dans le monde.

Recommandations des analystes

› Achat : 2

› Surperformance : 0

› Conserver : 7

› Sous-Performance : 1

› Vendre : 1

Cible moyenne : 87,55 $ US

3. Church & Dwight (New York, CHD, 91,57 $ US)

Cette entreprise fabrique des produits de base pour la maison - à partir de bicarbonate de soude - et pour les soins personnels.

Pourquoi l'aime-t-il ?

Ses produits sont peu coûteux et accessibles à tous les budgets. Par exemple, son dentifrice Pepsodent est moins cher que Crest. Aussi, ils se vendent bien, et ce, que l'économie soit en croissance ou en récession.

Son potentiel de croissance ?

À long terme, l'augmentation de la population aux États-Unis favorise le titre, car elle stimule la demande en produits vendus par Church & Dwight.

La cible en décembre 2016 ?

96 $ US.

Le risque ?

Il est faible, car l'entreprise évolue dans un secteur peu exposé à la conjoncture économique. «Les consommateurs achètent les produits de Church & Dwight, quel que soit le cycle économique.»

Recommandations des analystes

› Achat : 3

› Surperformance : 2

› Conserver : 11

› Sous-Performance : 2

› Vendre : 1

Cible moyenne : 90,90 $ US

STÉPHANE ROCHON

Vice-président et directeur général, chef de la recherche pour les particuliers chez BMO Nesbitt Burns

1. Alphabet (Nasdaq, GOOG, 738,06 $ US)

Le conglomérat possède plusieurs entreprises, dont le célèbre moteur de recherche Google.

Pourquoi l'aime-t-il ?

La société domine le Web avec son moteur de recherche. Elle se démarque aussi par son dynamisme financier. Malgré sa taille, Alphabet est encore capable d'augmenter son bénéfice de 15 à 20 % par année. «C'est remarquable pour une entreprise qui a une capitalisation boursière de 500 G$ US», dit M. Rochon.

Son potentiel de croissance ?

Même si Alphabet investit dans des secteurs porteurs à terme comme la robotique, c'est encore le secteur traditionnel de la publicité qui génère ses revenus sur son moteur de recherche.

La cible en décembre 2016 ?

Environ 800 $ US.

Le risque ?

Un fort ralentissement ou une récession, car 90 % de ses revenus sont générés par la publicité. Et quand l'économie se contracte, les entreprises réduisent habituellement leurs dépenses publicitaires.

Recommandations des analystes

› Achat : 20

› Surperformance : 27

› Conserver : 3

Cible moyenne : 925,30 $ US

2. Carnival Corp. (New York, CCL, 48,06 $ US)

Ce croisiériste est présent en Amérique du Nord, en Europe, en Asie et en Australie, et ce, avec plus de 100 navires.

Pourquoi l'aime-t-il ?

L'entreprise évolue dans un marché oligopolistique, où la barrière à l'entrée est très importante. La flotte mondiale de navires de croisière croîtra peu au cours des prochaines années. Par conséquent, le taux d'occupation sur les bateaux de Carnival continuera d'augmenter. «Cette situation fournit l'occasion à l'entreprise de hausser ses prix, ce qu'on a d'ailleurs vu lors de ses derniers résultats», dit M. Rochon.

Son potentiel de croissance ?

Dans les prochaines années, le bénéfice par action pourrait croître annuellement d'environ 15 %. «Ce n'est pas négligeable pour une entreprise de cette taille, qui évolue en plus dans une économie mondiale qui peine à livrer une croissance annuelle supérieure à 3 %.»

La cible en décembre 2016 ?

De 55 à 60 $ US.

Le risque ?

Un ralentissement de l'économie mondiale ou une hausse importante du prix du pétrole, ce qui réduirait le pouvoir d'achat des consommateurs.

Recommandations des analystes

› Achat : 3

› Surperformance : 3

› Conserver : 5

Cible moyenne : 58,70 $ US

3. FedEx (NY, FDX, 162,63 $ US)

Cette société se spécialise dans le transport de marchandises et de colis, notamment dans le créneau du commerce électronique.

Pourquoi l'aime-t-il ?

L'entreprise évolue dans un duopole avec UPS. «Ces deux entreprises contrôlent bien le marché», dit M. Rochon. FedEx est aussi bien gérée, en plus de bénéficier de la baisse du prix du pétrole, ce qui réduit ses coûts de transport.

Son potentiel de croissance ?

Le bénéfice par action pourrait croître annuellement de 10 à 12 % au cours des prochaines années. «Le titre s'échange à 12 fois les bénéfices, c'est donc un bon escompte par rapport au marché.» FedEx bénécie aussi du boom dans le commerce électronique, car le détaillant Amazon est l'un de ses clients.

La cible en décembre 2016 ?

De 190 à 200 $ US.

Le risque ?

La mauvaise conjoncture économique, même si FedEx fournit un service pratiquement essentiel dans l'économie américaine.

Recommandations des analystes

› Achat : 11

› Surperformance : 4

› Conserver : 12

Cible moyenne : 175,30 $ US

MARC L'ÉCUYER

Gestionnaire de portefeuille chez Cote 100

1. CarMax (New York, KMX, 48,44 $ US)

Ce détaillant de voitures d'occasion est présent dans une trentaine d'États aux États-Unis.

Pourquoi l'aime-t-il ?

L'entreprise gagne constamment des parts de marché sur ses concurrents, de petits acteurs indépendants. CarMax est d'ailleurs devenu le plus grand détaillant de voitures aux États-Unis.

Son potentiel de croissance ?

«C'est une histoire de croissance à venir», dit M. L'Écuyer. En moyenne, l'entreprise augmente de 10 % par année son nombre de concessionnaires aux États-Unis.

La cible en décembre 2016 ?

72 $ US.

Le risque ?

CarMax est tributaire en grande partie du financement que les banques accordent aux consommateurs afin qu'ils s'achètent une automobile. Il y a actuellement des craintes aux États-Unis à ce sujet. Les banques ont trop prêté et ont pris des risques. «Ça pourrait nuire aux ventes de CarMax à court terme», explique M. L'Écuyer.

Recommandations des analystes

› Achat : 6

› Surperformance : 6

› Conserver : 7

› Sous-Performance : 0

› Vendre : 1

Cible moyenne : 62,60 $ US

2. Cognizant Technology Solutions (Nasdaq, CTSH, 59,06 $ US)

Cette société en technologie de l'information se spécialise dans l'impartition aux États-Unis et à l'étranger.

Pourquoi l'aime-t-il ?

L'entreprise est bien placée pour répondre aux besoins d'impartition des grandes multinationales, notamment dans les secteurs de la santé et de la finance. Par exemple, elle peut aider les JP Morgan de ce monde à réduire leurs coûts en transférant des activités en Inde.

Son potentiel de croissance ?

Le titre a du potentiel de croissance, car Cognizant permet aux entreprises de réduire leurs coûts de production, une préoccupation constante au sein des entreprises américaines.

La cible en décembre 2016 ?

65 $ US.

Le risque ?

CarMax court le risque que des concurrents offrent sensiblement les mêmes services qu'elle, à moindre coût, ce qui réduirait ses marges bénéficiaires et sa capacité à créer de la valeur pour ses actionnaires.

Recommandations des analystes

› Achat : 13

› Surperformance : 14

› Conserver : 3

Cible moyenne : 69,50 $ US

3. Berkshire Hathaway (New York, BRK.B, 140,96 $ US)

Le conglomérat de Warren Buffett est présent dans plusieurs secteurs d'activité comme l'assurance, le commerce de détail et le secteur manufacturier.

Pourquoi l'aime-t-il ?

«On pense qu'il y a un avantage à être un conglomérat», dit M. L'Écuyer. Berkshire Hathaway peut générer plus facilement du capital grâce aux bénéfices transmis par ses filiales. Cela lui permet de faire des acquisitions importantes, comme celle de Precision Castparts, en août 2015, au coût de 32 G$ US.

Son potentiel de croissance ?

La croissance historique du titre de Berkshire Hathaway montre qu'il y a encore beaucoup de potentiel au cours des prochaines années. De mai 1996 à mars 2016, l'action a réalisé un rendement de 493 %.

La cible en décembre 2016 ? 175 $ US.

Le risque ?

Le décès du patron et fondateur de l'entreprise, le célèbre investisseur Warren Buffett, qui a 85 ans. «Ce décès aura un effet sur le titre», dit-il. Fait particulier : son successeur a été choisi, mais son identité n'est pas connue.

Recommandations des analystes

› Achat : 0

› Surperformance : 2

› Conserver : 1

DAN HANSON

Associé principal, recherche, et gestionnaire de portefeuille, actions américaines, chez Jarislowsky Fraser, à New York

1. Fiserv (Nasdaq, FISV, 100,31 $ US)

Cette société fournit des technologies en services financiers, destinées aux institutions financières.

Pourquoi l'aime-t-il ?

L'entreprise répond à un besoin fondamental des banques américaines. «Fiserv les aide à offrir de meilleurs services à leurs consommateurs», soutient Dan Hanson. Ses solutions technologiques aident notamment les banques de petite et de moyenne taille aux États-Unis à améliorer leur compétitivité par rapport aux grandes banques.

Son potentiel de croissance ?

Ces dernières années, le bénéfice par action de Fiserv a progressé de 10 % par année. Et cela devrait se poursuivre dans le futur.

La cible en décembre 2016 ?

Le gestionnaire ne fournit pas de cible.

Le risque ?

Les bénéfices des banques américaines sont sous pression en raison d'une croissance économique moins forte que prévu aux États-Unis. «Cette situation peut limiter l'habileté des banques à investir afin d'améliorer leurs services.»

Recommandations des analystes

› Achat : 3

› Surperformance : 3

› Conserver : 14

Cible moyenne : 100,25 $ US

2. Dollar Tree (Nasdaq, DLTR, 78,96 $ US)

Ce détaillant exploite un réseau de plus de 13 600 magasins offrant des produits à 1 $ dans 48 États et 4 provinces canadiennes.

Pourquoi l'aime-t-il ?

Compte tenu de la nature de son offre, la société ne pâtit pas de la concurrence du commerce électronique ; personne ne commande ce type de produit sur le Web. «Dollar Tree est donc isolée de la concurrence des détaillants en ligne.»

Son potentiel de croissance ?

Dollar Tree a connu une solide croissance interne au cours des dernières années, une tendance qui devrait se poursuivre. L'acquisition de son concurrent Family Dollar, en 2015, pourrait aussi fournir de nouvelles occasions de croissance.

La cible en décembre 2016 ?

Aucune.

Le risque ?

La réduction des dépenses de consommation aux États-Unis et une mauvaise intégration des magasins de Family Dollar au réseau de Dollar Tree pourraient nuire à la rentabilité de l'entreprise.

Recommandations des analystes

› Achat : 5

› Surperformance : 8

› Conserver : 12

› Sous-Performance : 1

Cible moyenne : 88,55 $ US

3. Comcast (Nasdaq, CMCSA, 59,25 $ US)

Le câblodistributeur et fournisseur de contenus sur Internet compte parmi ses divisions Comcast Cable et NBCUniversal.

Pourquoi l'aime-t-il ?

«C'est une grande entreprise à une juste valeur.» Comcast offre des services de haute qualité aux consommateurs, et elle investit beaucoup pour les améliorer.

Son potentiel de croissance ? Le titre est dynamisé par «l'appétit des consommateurs» pour les contenus et la technologie de qualité de l'entreprise. Comcast est aussi bien outillée pour gérer les changements technologiques.

La cible en décembre 2016 ?

Aucune.

Le risque ?

Les services du câble et d'Internet sont relativement coûteux pour l'ensemble des Américains. Une diminution des dépenses de consommation aux États-Unis pourrait nuire à la rentabilité de Comcast.

Recommandations des analystes

› Achat : 12

› Surperformance : 13

› Conserver : 4

Cible moyenne : 69,35 $ US

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