Banques : 6 raisons qui justifient une évaluation plus élevée


Édition du 11 Novembre 2017

Banques : 6 raisons qui justifient une évaluation plus élevée


Édition du 11 Novembre 2017

Par D.B.

Au moment où certains se demandent si les banques ont d'autres gains à donner en raison des nouvelles restrictions hypothécaires ou du moins grand nombre d'achats d'actions forcés par les investisseurs étrangers qui avaient parié sur un recul, Scott Chan, de Canaccord Genuity, prend position. L'analyste relève l'évaluation des banques de 11,7 à 12,2 fois les bénéfices prévus dans 12 mois. Il hausse ses cours cibles d'un an pour les huit banques de 4 % à 6 %. Voici ses six arguments. 1- Les chances sont élevées que l'année 2017 se termine en force et que la prochaine soit meilleure que prévu grâce au bon volume des prêts et à l'amélioration des marges. 2- Moins de surchauffe immobilière diminue les risques d'une implosion. 3- Le cours du pétrole rebondit. 4- Le secteur bancaire américain, où les banques TD et Royale sont plus présentes, a offert de bons résultats récemment. 5- L'envolée des Bourses nourrit les divisions de gestion du patrimoine. 6- Le volume de négociations sur les marchés, les transactions et les financements augmentent. Au Québec, où le chômage, l'économie, la confiance des PME et le marché immobilier se portent mieux qu'ailleurs au Canada, la Banque Nationale voit son cours cible grimper de 62 $ à 66 $. La plus internationale des banques canadiennes, Banque Scotia, reste la préférée de M. Chan à court terme. Son cours cible passe de 88 $ à 92 $.

À la une

Le CELI de Mathieu Corbeil: en construction

Édition du 10 Avril 2024 | Jean Décary

PLEINS FEUX SUR MON CELI. L’ingénieur en construction mise sur un portefeuille composé de FNB et de titres individuels.

Bourse: la Banque Royale fait trembler le marché des actions privilégiées

BALADO. La Banque Royale envoie un signal clair qu'elle pourrait racheter toutes ses actions privilégiées.

Correction boursière et marché baissier: pas de panique!

SE LANCER EN BOURSE. Le propre des marchés boursiers est de progresser et de reculer en permanence.