J'étouffe ! Hydro-Québec a un sérieux plan de match pour exporter davantage aux États-Unis, pourrez-vous lire dans ce numéro. ...
Action, ambition ! ÉDITO. Que les patrons québécois soient ambitieux ne nous a pas étonné. Mais ambitieux à ce point, oui.
Quand Henry Mintzberg se mêle de développement durable Quand Barack Obama est venu à Montréal, en juin, avez-vous, comme moi, applaudi avec vigueur à chacune de ses ...
Saputo, c'est l'autre pays du fromage À LA UNE. La multinationale québécoise pourrait acheter une entreprise en France, en Allemagne, en Italie...
Pour attirer les investisseurs, faites la révolution! À LA UNE. Nos start-ups attirent de gros sous. Ce qui ne veut pas dire que l’accès au capital de risque est facile.
Ce que le plus gros campus de start-ups du monde nous enseigne EDITO. L'incubateur géant lancé à Paris illustre une nécessité pour l'univers québécois des start-ups.
La révolution alimentaire frise l'indigestion EDITO. Révolution ou mode entrepreneuriale? Le créneau de la bouffe est dynamique, mais frise l'indigestion.
Je n'ai plus faim Selon Kimbal Musk, le frère de l'autre, «l'alimentation est le nouvel Internet». Autrement dit, la vague ...
Salaires: oui à la transparence, mais à une condition EDITO. Afficher les salaires de l'ensemble des employés peut être positif, à une condition.
Du lourd Je vous l'avais dit ! Rappelez-vous, dans cette même colonne en janvier, je vous promettais une année électrique.

À propos de ce blogue

Julie Cailliau est éditrice adjointe et rédactrice en chef du Groupe Les Affaires, dont l’équipe de journalistes chevronnés publie le journal Les Affaires, le site lesaffaires.com et le magazine Les Affaires Plus. Elle est également présidente du conseil d’administration de la Fondation des prix pour les médias canadiens. Diplômée de l’École supérieure de journalisme de Lille, en France, Julie a pratiqué le métier de journaliste au sein de plusieurs publications françaises et québécoises. Dans une vie précédente, elle a œuvré à titre d’ingénieure en biotechnologies. Son « why », c’est d’apprendre et d’informer afin de nous permettre de faire les bons choix. La prise de conscience de l’urgence environnementale et l’émergence de l’entrepreneuriat social comptent pour elle parmi les tendances les plus réjouissantes actuellement.