Je vois le Québec

Offert par Les Affaires


Édition du 22 Novembre 2014

Je vois le Québec

Offert par Les Affaires


Édition du 22 Novembre 2014

Si l'événement manquait de rodage pour ce qui est de la logistique, il a pu compter sur la présence de gros noms. Et tout le monde s'est mis au travail. Si bien qu'à la fin de la journée, 171 leaders avaient signé des lettres d'engagement pour concrétiser autant de projets qui devraient permettre à Montréal de se donner un nouvel élan. «On va changer de ton, on va changer d'attitude et ensemble on va y croire», a scandé le maire Denis Coderre, enthousiaste. Le premier ministre Philippe Couillard a également chaleureusement salué l'initiative tout en prenant soin d'inclure les régions dans son discours. «Tout le monde a besoin d'un Montréal fort pour que tout le Québec en profite.»

Justement, et si on lançait plutôt «Je vois le Québec» ? Cela nous permettrait de stimuler la province au complet. «Mets ta main dans la mienne, avançons dans le temps», dit Fred Pellerin. Avec les compressions annoncées, les régions n'ont pas dit leur dernier mot, mais elles devront aussi savoir se réinventer, comme l'explique notre manchette.

Ne tardons pas à bouger. «Le temps, ça court par en avant, il est toujours plus tard qu'on pense», chante Fred Pellerin. Au passage, un p'tit gars de région, de Saint-Élie-de-Caxton. Merci, Fred Pellerin.

Géraldine Martin
Éditrice adjointe et rédactrice en chef,
Groupe Les Affaires
geraldine.martin@tc.tc

Blogues similaires

Les salutations de Jacques Ménard... ainsi que les miennes

Édition du 30 Juin 2018 | René Vézina

CHRONIQUE. C'est vraiment la fin d'une époque chez BMO Groupe financier, Québec... et le début d'une nouvelle. ...

Canada Goose : le coup de froid

Édition du 26 Janvier 2019 | François Pouliot

CHRONIQUE. Le Canada a bon nom à l'étranger. Utilisons-le pour tenter de donner du levier à nos produits. Bonne ...

La fin de ce blogue, une occasion de rebondir

Mis à jour le 06/03/2017 | Julien Brault

BLOGUE INVITÉ. Je pourrai découvrir de nouvelles occasions d'affaires. C'est ainsi que prospèrent les start-ups.