2-monter la défense de l’entreprise ;
3-prendre garde aux distractions et s’assurer que l’entreprise continue à faire des affaires ;
4-gérer la réputation ;
5-garde à l'oeil l’exode de talent et le recrutement;
6-réféchir à la valeur résiduelle du nom SNC-Lavaliin.
Le nom SNC-Lavalin doit-il/va-t-il disparaître?
Peut-être, répond Richard Leblanc, « cela n’aurait bien d’étonnant. Regardez la liste des sociétés du Fortune 500. Tous les 5 à 10 ans, 10% des entreprises disparaissent. Elles ont été achetées ou bien elles ont changé de nom ou bien elles ont fermé leurs portes. »
Au cours des prochains mois, le nouveau président du CA de SNC-Lavalin devra répondre à de nombreuses questions. L’une des plus difficiles sera certainement : que vaut le nom SNC-Lavalin ? S’agit-il encore un actif ou est-ce devenu un passif? Si l’entreprise se croyait tirée d’affaire, qu’elle estimait avoir apporté les correctifs nécessaires, les accusations criminelles portées par la GRC lui rappelle qu’on ne se débarrasse pas si facilement de son passé.
ME SUIVRE SUR TWITTER : diane_berard