-le fonds républicain (qui aurait fructifié pendant 36 années) vaudrait aujourd’hui 2220$
- le fonds démocrate (qui aurait fructifié pendant 24 ans) vaudrait aujourd’hui 16 000$.
Plus de protectionnisme ?
Que craint la communauté d’affaires québécoises au juste ?
Le protectionnisme, surtout. On associe généralement les démocrates à l’interventionnisme et au protectionniste. Jacques Lamarre, ex pdg de SNC-Lavalin, a posé la question à Andrew Parker. Voici sa réponse
« Pendant son premier mandat, Obama a négocié trois accords de libre-échange, a-t-il répondu. Nous visons des échanges commerciaux les plus ouverts possible. » Il a rappelé que la relation Canada/US vaut 1,2 trillion de dollars, « De toutes nos relations économiques, c’est celle qui compte le plus à nos yeux », insiste-t-il.
Même si les panélistes se sont montrés rassurants, une question importante demeure :
-Jusqu’où Obama est-il prêt à aller pour réduire le nombre de chômeurs aux États-Unis ?
En 2010, le gouvernement Harper a réussi à faire reculer Obama sur le Buy America Act. Y arrivera-t-il encore?
Mais, est-ce vraiment important ? La réaction des Québécois, ceux qui appartiennent à la communauté d’affaires et les autres, face au parti en poste à la Maison-Blanche tient-elle à son impact réel sur nos vies et notre portefeuille ou à l’idéologie qu’il défend ?
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Lire ma chronique précédente sur l’optimisation fiscale pratiquée, entre autres, par Google, Amazon et Starbucks.