-réduisant les sommes allouées à la formation
-réduire ou retarder les hausses salariales et bonis destinés aux autres employés
- augmenter le prix de leurs biens et services
- réduire leurs profits
-augmenter leur productivité
- réduisant le roulement.
Paul Krugman résume bien la complexité du lien entre hausse du salaire minimum et hausse du chômage, « on ne peut comparer l’embauche et le licenciement d’un employé à l’achat de commodités. Des facteurs humains et sociaux entrent en jeu. C’est pourquoi une légère hausse du salaire minimum n’a pas nécessairement un impact négatif sur le taux d’emplois. » En effet, il est difficile de comparer la décision de recruter un nouvel employé à celle d’acheter n’importe que autre intrant nécessaire au processus de production. Et, surtout, d’affirmer qu’elle n’est influencée que par le prix.
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Lire ma chronique précédente sur la décision du pdg de Cisco de ne plus investir aux États-Unis si Obama ne baisse pas le taux d’imposition des entreprises.