Lightspeed veut toujours devenir la première licorne montréalaise

Publié le 26/05/2015 à 07:00, mis à jour le 26/05/2015 à 12:41

Dax Dasilva, le président et chef de la direction de Lightspeed, espère toujours que son entreprise pourra devenir la première «licorne» montréalaise.

Dans le monde des technologies de l'information, une licorne est une start-up qui réussit à atteindre la valeur du milliard de dollars. 

«Si nous continuons de croître au rythme actuel et réussissons à doubler nos revenus chaque année, nous pourrions y parvenir d’ici deux à trois ans», estime M. Dasilva, rencontré en marge de l’événement Big Bang, organisé par l’Association québécoise des technologies, qui s’est tenu à Montebello les 14 et 15 mai.

Ce dernier ne veut pas tout de suite suivre les traces de la société Shopify (SHOP), d'Ottawa, qui a très bien fait lors de son entrée à la Bourse de New York la semaine dernière. Il se donne encore quelques années pour y penser.

M. Dasilva s’est aussi dit très heureux du déménagement Lightspeed dans l’ancienne gare Viger, non loin du pont Jacques-Cartier à Montréal. Le déménagement a permis au patron de regrouper ses 200 employés montréalais sous un même toit. La société compte un total de 300 employés au Canada, aux États-Unis et en Europe. 

L’ambition de M. Dasilva est d’implanter sa solution de commerce de détail en Europe et sa solution pour les restaurants en Amérique du Nord, tout en gardant un oeil sur l'Asie.

Lightspeed développe une solution de commerce électronique sur iPad pour les détaillants et les restaurateurs. La solution est présente dans 24 000 points de ventes et gère des transactions totalisant 9 milliards de dollars.

 

 

 

 

Denis Lalonde

À la une

Repreneuriat: des employés au rendez-vous

Il y a 29 minutes | Emmanuel Martinez

REPRENEURIAT. Le taux de survie des coopératives est bien meilleur que celui des entreprises privées.

La hausse de l'impôt sur le gain en capital rapporterait 1G$, selon Girard

Il y a 28 minutes | La Presse Canadienne

C’est ce qu’a indiqué le ministre des Finances, Eric Girard, mardi en commission parlementaire.

Gains en capital: l'AMC demande au gouvernement de reconsidérer les changements

L’augmentation du taux d’inclusion s’appliquerait aux gains en capital supérieurs à 250 000 $ pour les particuliers.